Tanger la belle, Tanger l’insouciante… sans elle je n’en serais probablement pas là où j’en suis aujourd’hui. À mes 17 ans, je l’ai redécouverte par la force des choses : après 30 années passées en France, ma mère a décidé de revenir s’installer dans sa ville natale: Tanger. C’est à cette période que j’ai réalisé mes premières photographies et que j’ai compris que ce serait une vocation.
Les voyages se sont faits de plus en plus nombreux. Mon regard s’est transformé. Cette ville, berceau de mon enfance, avait encore quelque chose de nouveau à m’offrir. Avec une certaine intimité, j’ai photographié mes endroits préférés, comme un journal intime en image.
Il y a eu le Tanger de mon enfance, celui de mon adolescence, puis le Tanger de mon regard de photographe.
